Les morts et les blessés se comptent par millions. Les nouvelles armes utilisées déchiquettent les corps. Les médecins, les chirurgiens, les infirmières sont débordés par le nombre de blessés qui affluent. Tous ont œuvré nuit et jour pour soulager, lorsque ça l’était possible, les soldats qui arrivaient au poste de secours, à l’hôpital de campagne. Un thème qu’on retrouve dans plusieurs romans.
Nicole Mangin a été l’unique femme médecin pendant la Grande Guerre : Docteure à Verdun de Catherine Le Quellenec.
Dans Infirmière pendant la Première Guerre mondiale, Sophie Humann laisse la jeune Geneviève raconter son quotidien d’infirmière.
Le Choix d’Adélie, de Catherine Cuenca, est de s’être engagée comme infirmière pendant la guerre au lieu de devenir une maîtresse de maison et une épouse parfaite comme son rang social la prédestinait.
Marie Curie, une scientifique en guerre, de Catherine Le Quellenec, montre comment la scientifique a réussi à mettre au point les rayons X pour sauver plus rapidement les soldats blessés.
Irène et Eve Curie ont elles aussi apporté leur soutien pendant la Grande Guerre : D’un combat à l’autre : les filles de Pierre et Marie Curie, de Béatrice Nicodème.
Célèbre cantatrice de la Belle Époque, Nelly Martyl devient infirmière pendant la guerre et prend tous les risques pour sauver des blessés : La Fée de Verdun, de Philippe Nessmann.
Et n’oublions pas les chiens ambulanciers dont l’aide était précieuse pour repérer sur le No man’s land des soldats encore vivants, et les transporter ensuite au poste de secours. Flash, un chien dans la guerre de Damian Kelleher.
Très intéressant de rappeler la part active, que nous les femmes, avons prise à la guerre. Et les animaux aussi.