La Première Guerre mondiale, c’est bien sûr la mobilisation de millions d’hommes pour combattre sur le front. Mais à l’arrière, la vie continue et s’organise en leur absence. A leur manière, les femmes et les enfants contribuent aussi à l’effort de guerre.
Petit tour d’horizon des romans et albums jeunesse sur le sujet :
La Guerre d’Éliane, de Philippe Barbeau, est tiré de son histoire familiale.
Les femmes remplacent les hommes dans l’exercice de leur métier : Celle qui voulait conduire le tram, de Catherine Cuenca.
Les femmes travaillent aussi dans les usines d’armement et remplacent les hommes pour les travaux des champs : La Vie au bout des doigts, d’Orianne Charpentier.
Un quotidien décrit dans Le Journal d’Adèle, de Paule du Bouchet.
Chaque femme, selon son rang social, a sa manière d’évoluer pendant que les hommes sont au front. Leur statut change mais il reste encore beaucoup à faire : Là où tombent les anges, de Charlotte Bousquet.
Les femmes vivent dans l’angoisse d’apprendre la terrible nouvelle : La Maîtresse ne danse plus, d’Yves Pinguilly et Zaü.
Des enfants se mobilisent aussi, à l’instar d’Éliane Stern, qui écrit un journal dont les bénéfices sont reversés aux soldats aveugles : L’Étoile, journal d’une petite fille pendant la Grande Guerre, de Viviane Koenig.
A l’arrière, l’amitié entre un enfant et un sergent, profitant d’un repos bien mérité : Petit-Jean des poilus, de Michel Piquemal.
L’histoire d’une petite fille bien décidée à découvrir la vérité : Capitaine Rosalie, de Timothée de Fombelle.